Déraisonnable
Voilà, première partie finie. La suite samedi.
Finalement, adieu le foie gras, tout le monde avait "les dents du fond qui baignent" au milieu de la langouste. Je savais que j'aurais du faire les soupières de St Jacques dans mes petits pots en terre (récupérés de chez Picard) et non dans les soupières : un bol au lieu d'un pot de yaourth, ça change les doses !
J'ai eu un avant goût d'une soirée où j'me colltine le tout (ou presque : merci belle-maman pour le gateau ).
En plus pour la surprise c'était un peu loupé parce que son père, au téléphone, lui avait souhaité à midi un joyeux anniversaire, et avait terminé (la bourde) par un "à ce soir" , que belle-soeur n'a pas entendu, et bienheureusement pour lui, car il se serait pris un retour savamment (?) vertement dosé.
Pas de cadeau non plus, puisqu'il devrait être offert en commun samedi. Donc ils sont venus avec un sweat, style c'est ça ton cadeau, ah mince dommage il n'est pas à ta taille, on le fait changer la semaine prochaine. Bon de toute façon, le (méga) repas c'était déjà (plus que pas mal) copieux, avec que des trucs qu'il aime, même si j'aurais pas du faire les soupières dans les soupières (vous me suivez ?) et qu'il avait vu les queues (de langouste) le soir où je venais de faire les courses.
Même pas de nuit torride pour courronner le tout : il est peu de position où les ventres bidons à la peau plus que tendue ne se frôlent, ce qui, suite à ce repas cette orgie eut été plus que dangereux.
Résumons donc cette soirée :
- ça lui a plut
- on a trop mangé
- j'aurais pas dû mettre les soupières dans les soupières
Mitsu, encore 3 repas (gargantuesque) pour m'améliorer